Selon une étude de Boston Consulting, le marché de la seconde main devrait croître de 15 à 20 % dans les 5 prochaines années, en répondant aux nouvelles tendances de consommation de réaliser des achats « malins », pour concilier plaisir dans un souci du pouvoir d’achat et de l’environnement.
© Romain Demay, installation Decathlon
En France, il représente 7 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 86 milliards en Europe selon KPMG. Face à ce phénomène majeur, de plus en plus de retailers dont notamment Fnac Darty, Petit Bateau, Decathlon, et d’e-commerçants voient dans l’économie circulaire, une opportunité de fidélisation et de croissance. Rentabilité oblige, face à une logistique complexe et spécifique, les retailers et e-commerçants doivent industrialiser leurs flux retour dans leurs entrepôts, du tri au stockage, en vue d’accélérer la « seconde vie » de leurs produits.
La robotisation « Goods to Person », à l’image de l’offre SCALLOG, s’impose aujourd’hui dans la logistique « seconde main » pour gagner en rapidité de traitement, en qualité et en traçabilité, tout en maîtrisant les coûts. Elle représente la meilleure alternative technologique pour limiter les manipulations, les déplacements inutiles et assurer la « bonne » intégration des produits « seconde main » dans les stocks !
La robotisation « Goods to Person” au cœur d’une logistique « seconde main » agile et rentable !
La logistique seconde main, constituée d’une multitude de pièces subissant des fluctuations importantes de la demande, nécessite de massifier, rationaliser et industrialiser les flux retour, par essence peu normés et qualifiés, en vue d’en réduire les coûts. En effet, réceptionner les produits en vrac, les contrôler, les ranger et les stocker nécessite de nombreuses manipulations, source de perte de temps et d’erreurs. Pour accélérer la « seconde vie » des produits, la robotisation « Goods to Person » - des étagères transportées par des robots vers des opérateurs - y répond pleinement en automatisant les traitements – tri, contrôle et stockage !
Accélérer les opérations de tri, de contrôle et de stockage
Souvent réceptionnés en vrac, les produits dédiés à la seconde main, collectés en magasin ou envoyés par les consommateurs, nécessitent de multiples manipulations et opérations – dévraquer, contrôler, réappairer et stocker au « bon emplacement ». Avec une solution de « Goods to Person » comme SCALLOG, particulièrement adaptée au tri et à la réconciliation des paires et lots, les manipulations et les déplacements sont limités au maximum. Une fois le contrôle qualité réalisé par l’opérateur lors du picking dans le vrac, il lui suffit de scanner le produit, de le mettre sur l’emplacement vide désigné sur l’étagère et de scanner cet emplacement. Réappairer et constituer des lots se réalise d’autant plus facilement lorsque le stockage est réalisé sur étagères. En une seule manipulation, le produit de « seconde main » est référencé et répertorié dans le WMS, stocké dans « le bon emplacement » et prêt à être remis en vente !
Gagner en traçabilité et en productivité
Avec la robotisation « Goods to Person », tous les produits « seconde main » bénéficient d’une traçabilité « sans faille » dans l’entrepôt, en supprimant les pertes et les erreurs de stock. A cela s’ajoute une productivité accrue, soit une multiplication par 8 des cadences de remise en stock et de traitement des produits « seconde main » par rapport aux opérations manuelles ! En outre, les postes dédiés à la remise en stock peuvent être positionnés au plus près de la réception et les postes dédiés au picking au plus près du packaging.
Place donc à une logistique « seconde main », efficace et agile, avec des process robotisés de reverse logistic, pour accélérer et fiabiliser les traitements tout en réduisant le temps d’immobilisation des marchandises, face à l’hégémonie des plateformes CtoC ! La robotisation « Goods to Person » s’avère aujourd’hui clé dans la logistique « seconde main » des marques, enseignes et e-commerçants pour développer des modèles rentables, bénéficier d’un chiffre d’affaires additionnel et se démarquer par la relation directe avec les consommateurs, dans un contexte inflationniste et de quête de pouvoir d’achat !
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