La Robotique Goods to Person au cœur de la performance RSE de l’entrepôt !

Par Les experts de SCALLOG | le  |  temps de lecture : 5 min

Tribune de Ludovic Fenelon, Directeur Commercial et Marketing | SCALLOG

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La RSE est désormais au cœur des préoccupations des Directions Supply Chain, soucieuses de leur image auprès de leurs clients, partenaires et collaborateurs. Selon PWC, en France, plus de la moitié des Directions SC considèrent les enjeux environnementaux comme l’un de leurs défis prioritaires en 2025.

90% d’entre eux ont mis ou vont mettre en place une feuille de route RSE selon trois piliers : environnemental, économique et social voire sociétale. L’entrepôt peut y participer activement, au-delà d’une conception éco-responsable, en optimisant le bien-être au travail et l’expérience collaborateur des opérateurs logistiques, impactés par la pénibilité des tâches, les TMS et le stress. La Robotique Good to Person pour automatiser les opérations de picking, chronophages en temps, déplacements et manipulations, se révèle aujourd’hui un levier clé en vue de favoriser le bien-être, l’engagement et la productivité des collaborateurs dans l’entrepôt !

Améliorer la Qualité de Vie et des Conditions de Travail dans l’entrepôt !

En France, le secteur de la logistique-transport fait partie des secteurs les plus exposés aux troubles TMS selon France Supply Chain ; 95% des maladies professionnelles y sont liées d’après les dernières données d’AMELI. En outre, il dispose d’un taux de sinistralité aussi élevé que le BTP selon l’INRS. Pour prévenir et réduire de manière drastique les risques physiques et la charge mentale, il devient impératif de mettre en place dans les entrepôts une véritable démarche de Qualité de Vie et des Conditions de Travail en vue de créer un environnement et des conditions favorables au bien-être, à la santé et de facto à la performance opérationnelle des opérateurs. Focus sur le picking ou les préparations de commandes qui engendre de nombreuses contraintes pour les opérateurs, des déplacements incessants - jusqu’à 10 kilomètres par jour, des manutentions à bout de bras – de 1 à 10 tonnes par jour, un environnement bruyant et une forte charge mentale pour tenir la cadence et la qualité attendues.

La Robotique Goods To Person, à l’image de SCALLOG, - des étagères transportées par des robots vers des opérateurs- s’inscrit idéalement dans une démarche QVCT (Qualité de Vie et des Conditions de Travail) ; elle propose un environnement véritablement ergonomique dans les usages qui protège la santé physique et mentale des opérateurs, tout en boostant leur productivité. Positionnés aux stations de préparations, les opérateurs, qui n’ont plus à se déplacer, sont guidés à toutes les étapes via des faisceaux lumineux dans un environnement silencieux pour préparer plusieurs dizaines de commandes, sans risques de mauvaises postures, de stress et de collision engins/piétons. L’ergonomie du poste de travail dans les usages est la priorité, du tapis anti-fatigue à l’angle des ruchers ; en effet, de plus en plus d’entreprise, implique leurs opérateurs dans le design et l’ergonomie de la station pour devenir acteurs de leur bien-être et les embarquer dans le changement. De plus, la Robotique Goods to Person peut être un outil d’inclusion dans une démarche QVCT ; preuve en est, le logisticien DISPEO y dédie ses collaborateurs logistiques à mobilité restreinte !

De la protection de la santé physique à l’allégement de la charge mentale de l’opérateur, qui demeure toujours aux commandes, la Robotique Goods to Person l’assiste au quotidien et non le remplace voire donne de la valeur à ce qu’il fait !

Renforcer l’expérience et l’engament des collaborateurs !

Secteur sous tension en termes d’emplois dans certains bassins, la logistique, souvent associée à des conditions de travail pénibles, peine à recruter et fidéliser ses collaborateurs. Et pourtant, il est un des secteurs les plus dynamiques qui innove le plus en termes de technologies – robotique, blockchain, IA et de pratiques. 

Il en va de même dans les entrepôts : la Robotique Goods to Person, gage d’un cadre favorable au bien-être et la montée en compétences des opérateurs, participe à leur recrutement, leur fidélité et leur engagement. Elle permet de rendre le métier d’opérateur plus attractif auprès de la jeune génération « technophile » et accessible au plus grand nombre. Et surtout, elle assure une meilleure expérience collaborateur ; l’opérateur logistique gagne en compétence, en polyvalence et s’épanouit dans sa vie sociale. Avec un métier et des missions qui font sens, l’opérateur est plus motivé, impliqué et performant ; le taux d’absentéisme, de turn over et d’erreurs diminuent de manière drastique.

Dans le cadre d’une démarche RSE, la Robotique Goods to Person garantit à l’entreprise de préserver son capital humain et à l’opérateur logistique d’accroître son capital personnel de compétences, une relation de coopération gagnant-gagnant !

Avec l’avancée des nouvelles technologies, de l’IA à la robotique, les métiers et les pratiques logistiques vont changer ; la transformation des compétences et des talents va s’intensifier. A l’heure où un entrepôt sur 5 est automatisé, la Robotisation Goods to Person selon SCALLOG relève déjà un enjeu autant économique que sociétal dans l’entrepôt ; industrialiser les process pour plus de productivité et d’efficacité sans perte de sens et de valeur pour les opérateurs. Aujourd’hui, cette technologie améliore considérablement leur Qualité de Vie et Conditions de Travail et œuvre à leur employabilité future, tout en répondant aux objectifs RSE de l’entrepôt !

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